Fawtly Towers - l' Hôtel en folie *-* episode 4 LES INSPECTEURS  vient d'êtrre activé...

Demain on change  de page ....

De Michel Fbdemerde  sur Facebook ..

Oliver Marchal écrit ....

"Moi, je rêvais d’être flic depuis tout petit. Je voulais ressembler à Delon, Belmondo, Ventura, Claude Brasseur et tant d’autres. A tous ces flics de cinoche qui roulaient des mécaniques en sauvant des vies et en protégeant les autres. J’ai essayé d’être comme ça. Je pense y être un petit peu arrivé. J’ai surtout travaillé avec des mecs qui n’étaient que ça. Des types ordinaires avec des salaires de merde au service des citoyens. Des types qui continuent aujourd’hui à faire leur job dans des conditions lamentables. Et qui se heurtent à une horde de petits marquis qui hurlent à la mort du fond de leurs appartements bourgeois des arrondissements les plus huppés de la capitale. Qui se permettent de juger. De condamner. Sans savoir. Qui ne connaissent rien à la violence, à l’odeur du sang et de la mort. Qui n’ont jamais vu un flic pleurer devant le cadavre d’un enfant de quatre ans tué à coups de fer à repasser ou d’un nourrisson violé par son beau père et qui dégueule ses intestins par son anus. C’est aussi ça, un flic, mesdames et messieurs les artistes qui vomissaient ceux que vous acclamiez il y a encore quelque temps parce qu’ils avaient risqué ou donné leurs vies pour protéger vos vies de citoyens privilégiés du terrorisme. Oui, il y a des flics qui ne méritent pas de pitié. Oui, il y a des flics qui se comportent parfois de façon pitoyable. Mais combien sont-ils ? Si peu, si vous saviez… Ceux là, méritent d’être jugés. Et durement. Les autres ne méritent pas l’amalgame. Ils ne méritent que notre reconnaissance. Et nos applaudissements… Et moi, ceux là, je les aime…« Olivier Marchal" (cinéaste, auteur, acteur etc.)

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Les flics, les toubibs, les infirmières, les pompiers les derniers métiers dont la noblesse de leurs actes contrastent avec nos sociétés de planqués ou le fric domine tout .

lejamaiscontent.com

Bonjour comme Jonathan  a pscine je vous remet pendant son absence ses meilleurs éditos  ..

8 mars

Sur le plateau de Praud ce matin, il y avait une militante féministe woke ménopausée, Muriel Reus, qui a trouvé «pathétique» que Philippe de Villiers, au meeting de Z, évoque la chevelure et les qualités esthétiques de Marion. Pour cette militante, ce sont là «des stéréotypes de genre» qui n'ont plus lieu d'être dans une société moderne. Autrement dit, que la femme n'est pas qu'un physique. Pourtant, cette militante d'un certain âge a : de fausses dents bien blanches, du botox du front au menton, une coloration qui lui fait des cheveux de vingt ans et probablement quelques interventions chirurgicales anti-rides au compteur. Finalement, les «stéréotypes de genre» et la sublimation des attributs féminins ne la dérangent pas tant que ça. Typique des féministes hystéros : leur combat, c'est quand même souvent un désir de revanche contre la nature qui n'a pas été amicale avec elles et contre les années qui défilent et qui flétrissent. Ce qu'elles appellent des machos, ce sont surtout des hommes qui préfèrent regarder Marion que Muriel Reus.

 Nous sommes arrivés au moment de l'histoire humaine où la technologie permet aux puissants le contrôle et la gestion des peuples comme du bétail. Nous sommes arrivés au moment où le crédit social est possible. Il ne reste plus qu'une étape : l'acceptation des peuples à ce projet.

Alexis Haupt Philosophie @AlexisPhilo · 12h

LE 29 JUILLET

Les dirigeants d'Intermarché ont fait savoir qu'ils renonçaient à l'abattage rituel halal et casher dans au moins deux des abattoirs bretons qu'ils exploitent. On ne peut que saluer cette décision. Sur Twitter, des milliers de messages de musulmans qui crient à l'islamophobie et au racisme, et beaucoup promettent de ne plus jamais mettre les pieds dans un Intermarché. Autrement dit, ce n'est pas une mais deux bonnes nouvelles qui se profilent à l'horizon : d'une part, la fin de cette barbarie innommable qu'est l'abattage rituel, ensuite le fait que cela participe un peu plus à séparer l'huile et le vinaigre, si vous avez la référence. Le vivre-ensemble est tellement un mythe artificiel qu'il suffit qu'un commerçant renonce à égorger salement des animaux pour que l'on assiste aussitôt à des volontés sécessionnistes à l'intérieur même du pays. Or tout ce qui permet de faire voler en éclats ce mythe est une excellente chose, alors pour ça : Merci Intermarché.

PS / Merci à la revue Éléments qui consacre deux pages de son numéro 197 (août - septembre 2022) à La délégation des siècles, et plus particulièrement à deux des titres de notre catalogue : Les dieux ont soif d'Anatole France et Le capitaine philosophe de Marcel Tissot, deux romans contre-révolutionnaires qu'il faut lire et faire lire pour tordre le cou à la mythologie révolutionnaire.

Philippine de Rothschild (1933-2014) ,l'autre jour je l'ai vue à la télé dans un reportage de France 2 sur les vins de Bordeaux , c'était une des héritières avec, ses enfants du vin Château Mouton Rothschild . Elle arborait un lourd pendentif qui représente Baal pour les intimes ou Baal Hamon pour les autres , c'est pour ainsi dire un cousin de Satan ou un proche , un démon adoré il y a fort longtemps chez les Khazars d' Europe de L'est, au sud de l'Ukraine, Il est toujours adoré de nos jours, ces bestioles là sont tenaces, les adorateurs font un pacte avec lui : il leur donne le pouvoir de l'argent contre son adoration sans limites . On le représente de temps en temps de nos jours, toujours discrètement, bien souvent dans les milieux financiers, ou politiques mondialistes.

Tenez regardez les ballets d'inauguration du tunnel du Gothard sur Youtube (https://youtu.be/b-TKQaqml6k) en Suisse en 2016, ou Angela Merkel était conviée, la maudite bête était là, l'héroïne du ballet, je me suis demandé pourquoi ils aiment tant ce diable ..

du magazine : "Climate Science’s Myth-Buster"

par Guy Sormann

Hiver 2019

PARTIE 3 , voir partie 2  à la page du 28.7. et partie  1 a la date 27.07

En 2005, j'ai eu une conversation avec Rajendra Pachauri, un ingénieur ferroviaire indien, qui s'est transformé en climatologue et est devenu directeur du GIEC, qui a reçu le prix Nobel de la paix 2007 sous son mandat. Pachauri m'a dit sans gêne qu'il ne recrutait à l'ONU que des climatologues convaincus de l'explication du réchauffement par le dioxyde de carbone, à l'exclusion de tous les autres. Cette collusion extraordinaire permet aujourd'hui aux politiciens et aux commentateurs de déclarer que "la science dit que" le dioxyde de carbone est à blâmer pour le réchauffement climatique, ou qu'un "consensus scientifique" existe sur le réchauffement, ce qui implique qu'aucune autre étude n'est nécessaire - quelque chose qui n'a aucun sens de son coté, car la recherche scientifique n'est pas basée sur un consensus mais sur des points de vue contradictoires.

Curry est sceptique quant aux résultats positifs qui pourraient découler des traités environnementaux, surtout l'Accord de Paris sur le climat de 2016. Selon les termes de l'accord, les pays signataires - sans compter les États-Unis, qui se sont retirés du pacte - se sont engagés à réduire les émissions de gaz à effet de serre afin de stabiliser la température de la planète à peu près à son niveau actuel. Pourtant, comme l'explique Curry, même si tous les États respectaient cet engagement - une perspective peu probable - la réduction de la température en 2100 serait de deux dixièmes de degré insignifiants. Et cela suppose que les prédictions des modèles climatiques sont correctes. S'il y a moins de réchauffement futur que prévu, les réductions de température résultant de la limitation des émissions seraient encore plus faibles.

Depuis la conclusion de l'Accord de Paris sur le climat, aucun gouvernement n'a pris de mesures sérieuses. Le retrait américain n'est pas le seul problème ; L'Inde ignore effectivement l'accord, et la France « manque chaque année ses objectifs de réduction des gaz à effet de serre », admet Nicolas Hulot, l'activiste écologiste français et ancien ministre du président Emmanuel Macron. L'accord est inapplicable et ne comporte aucune sanction - une condition sur laquelle insistent de nombreux gouvernements qui n'auraient pas signé autrement. Nous continuons à vivre dans une réalité contradictoire : d'une part, nous entendons dire que rien ne menace autant l'humanité que l'augmentation du dioxyde de carbone atmosphérique ; d'un autre côté, il ne se passe pratiquement rien pour faire face à cette menace prétendument grave. La plupart des économistes suggèrent que la seule incitation efficace pour réduire les niveaux de gaz à effet de serre serait d'imposer une taxe mondiale sur le carbone. Aucun gouvernement ne semble disposé à accepter un tel prélèvement.

Y a-t-il ou non une crise de réchauffement apocalyptique ? "On nous dit toujours que nous atteignons un point de non-retour - que, par exemple, la fonte de la banquise arctique est le début de l'apocalypse", déclare Curry. "Mais cette fonte, qui a commencé il y a des décennies, ne mène pas à la catastrophe." Les ours polaires eux-mêmes s'adaptent et se déplacent ailleurs et n'ont jamais été aussi nombreux ; ils sont moins menacés par la fonte, dit-elle, que par l'urbanisation et le développement économique dans la région polaire. De plus, depuis un an environ, la planète a commencé à se refroidir, même si "personne ne sait si cela va durer ou non, ou si cela va remettre en cause toutes les hypothèses de réchauffement climatique". Selon Curry, la rupture vraiment spectaculaire de la banquise ne proviendrait pas de la fonte induite par le réchauffement climatique, mais d'"éruptions volcaniques dans la région de l'Antarctique qui briseraient la glace, et celles-ci ne peuvent pas être prédites". Les climatologues ne parlent pas de telles éruptions car leurs modèles théoriques ne peuvent rendre compte de l'imprévisible.

Curry recommande-t-elle la passivité, alors ? Pas du tout. Selon elle, la recherche devrait être diversifiée pour englober l'étude des causes naturelles du changement climatique et ne pas se concentrer de manière aussi obsessionnelle sur le facteur humain. Elle estime également qu'au lieu de perdre du temps en traités futiles et en querelles stériles, nous ferions mieux de nous préparer aux conséquences du changement climatique, qu'il s'agisse du réchauffement ou d'autre chose. Malgré les cris suscités par la prolifération d'incidents météorologiques extrêmes, souligne-t-elle, les ouragans font généralement moins de dégâts aujourd'hui que par le passé, car les systèmes d'alerte et la planification des évacuations se sont améliorés. Cela suggère la bonne approche.

Le pragmatisme de Curry peut ne pas être acclamé dans les cercles écologistes ou parmi les experts libéraux, bien que personne ne conteste effectivement la validité de ses recherches ou ne réfute les données qu'elle cite sur une réalité extrêmement complexe. Mais ensuite, ni la réalité ni la complexité ne mobilisent autant les passions que les mythes, c'est pourquoi l'œuvre de Judith Curry est si importante aujourd'hui. Elle est une briseuse de mythes.

Guy Sorman,

rédacteur en chef du City Journal, est l'auteur de nombreux livres, dont Economics Does Not Lie: A Defense of the Free Market in a Time of Crisis.

fin de l article