Macron dégage !

MiniaKissa @MiniakissaS · 17h 🔴La journaliste Alina Lipp risque 3 ans de prison pour avoir informé les Allemands des attaques de l'#Ukraine️ contre le #Donbass. Selon le gouvernement allemand, bombarder des civils pendant 8 ans, c'est bien, mais oser en parler vaut une peine de prison.

Depuis son « la police tue » assumé et réitéré, dont il espère le bénéfice électoral que chacun devine, les critiques fusent contre Jean-Luc Mélenchon et lui confèrent une place de choix sur le podium encombré du cynisme en politique. Mais au-delà de cette évidence, on ne peut pas exclure l'hypothèse que Jean-Luc Mélenchon ait une attirance sincère pour les gens qui détestent la police. Le penchant pour les voyous est en effet une paraphilie (le terme chic pour perversion) très banale, dont le mode mineur consiste par exemple, pour des lycéennes, à être plus excitées par le bad boy de la classe que par le gentil fort en maths bien propre sur lui.

À l'autre extrême, on trouve les milliers de lettres d'amour ou de demandes en mariage de tueurs en série incarcérés. Entre les deux, des gens généralement de gauche ou d'extrême gauche, toujours prompts à voir dans le délinquant une victime de la société, et qui se donnent d'autant plus le frisson de l'aventure par procuration qu'ils ont le plus souvent un courage physique limité et des vies d'intellectuels bien assis. On peut penser à Edwy Plenel ou à Virginie Despentes faisant montre de compréhension pour les frères Kouachi…

Tout comme ceux-là, Jean Luc Mélenchon a les fesses bien calées depuis des décennies dans des fauteuils républicains et - contrairement aux policiers - n'a sans doute entendu siffler de sa vie d'autres balles que celles d'un terrain de pétanque. Fort de cette expérience, il ne nous laisse apparemment que l'option de gérer la délinquance comme l'ont fait toutes les dictatures : l'appel à des truands pour faire régner l'ordre, comme les dissidents dans les goulags encadrés par des droits communs, ou Vichy donnant des cartes tricolores à des bandits notoires. Heureusement que Mélenchon a été enfant de chœur…

Richard Hanlet   / Boulevard Voltaire .

La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé jeudi qu'elle allait mettre fin "le 1er juillet" à ses rachats nets d'actifs.... Vers l'explosion de l' Euro, cette année ? de Florian Philippot .

la BCE ne rachète plus nos bons du trésors à partir du 1er juillet .Il faudra chercher des sous ailleurs ....qui prêtera, à quel taux ?

Au-delà de la droite

14 June, 2022

  l’espoir *-*  Institut Libertés

On a gagné la bataille culturelle, qu’ils disaient. Qui ? Les droitards, qui souvent n’avaient jamais fait l’effort d’ouvrir le moindre livre, et surtout pas ceux de Gramsci(*philosphe et pionner du communisme en Italie, voir ses citations plus bas ) qui par ailleurs sont très peu traduits et trouvables en langue française, ce qui fait un excellent détecteur de cuistres d’ailleurs.

Il faut faire du gramscisme de droite, qu’ils disaient, et on avait beau leur répéter que lorsqu’on veut gagner une bataille sous-marine, il n’y a aucun intérêt à le clamer sur tous les toits, ils n’écoutaient pas. La furtivité et l’intelligence semblaient toujours leur échapper. Alors, que faire ? Que faire de cette génération à la nuque raide, qui compte sans cesse sur les autres pour penser à sa place ?

Ce n’est certainement pas en consommant les gras produits bien lourds de chez Bolloré qu’on risque de sauver son âme, la France et la planète en même temps. Ce n’est certainement pas en s’abêtissant devant des tutos de droitardés sur youtube qu’on va percer le sens de l’existence et imaginer le salut du monde. La vérité, c’est que rien de ce qui se dit de droite aujourd’hui, de Rachida Dati à Marine Le Pen en passant par Éric Zemmour et Marion Maréchal, n’a la moindre idée de l’héritage qui lui est tombé sur le dos, ni même s’il en prenait connaissance ne saurait comment le faire fructifier. Nous allons donc essayer de leur souffler quelques idées, et de leur suggérer le discours qu’il faudrait tenir, si l’on voulait vraiment gagner. Pour commencer, il faut cesser de croire en l’idée simple et vague de « démocratie » : c’est un terme qui en soi n’a pas de sens, tant que l’o n’a pas défini le peuple. Démocratie locale, tout le monde est pour, parce qu’il s’agit de régler des problèmes simples et immédiats. La démocratie nationale, telle qu’elle es pratiquée aujourd’hui avec le suffrage universel généralement direct est en revanche un leurre : outre que le « peuple » se soustrait d plus en plus à son devoir civique, on lui demande de se prononcer sur des sujets qui le dépassent de très loin. Notons que la France est le seul pays occidental tempéré à conférer si directement tant d pouvoir du peuple au président de la République. Nostalgie du roi, certaunement, mais qui nécessite de multiples réformes.

Un peuple européen ? Foin. L’Europe politique, telle qu’elle fut rêvée, a échoué. Ce n’était pas qu’elle ne fût un beau projet, mais c’est qu’il a vite déraillé vers un cauchemar où l’absurde le dispute au tyrannique.

L’Europe aurait dû se mettre au service des patries, comme un parapluie quand tombe l’averse ; au contraire, elle est devenue la finalité et le commencement de toute politique, préemptant des souverainetés et des pouvoirs qui ne lui appartenaient pas. Alors que les Anciens le savaient déjà, la démocratie ne peut être que celle des petites entités, celle des libertés concrètes, immédiates et défendables. Comme en de nombreuses autres matières, en politique, small is beautiful. Les empires durent peu, les territoires demeurent, parce que c’est à eux que l’homme tient charnellement.

Ce monstre bureaucratique que tous les peuples se sont mis d’accord pour haïr doit être renversé avant qu’il ait tué jusqu’à l’idée de civilisation européenne. Une civilisation qui a pu se faire dans la douleur, dans les guerres et dans le sang parfois, mais qui a accouché pourtant de l’un des plus formidables trésors de l’humanité. Sur ses assises grecques et romaines, surélevées avec le concours de tous ses peuples, l’Europe est ce chaudron où une chrétienté bouillonnante a élaboré la liberté et la dignité de l’homme. Cela, on ne peut, moins que jamais, se permettre de le perdre.

La constitution de l’Europe doit évidemment se fonder sur un projet politique responsable, crédible et conforme aux intentions des Pères fondateurs. Cette Constitution européenne doit tout d’abord retrouver le sens de la mesure, la recherche de l’harmonie. C’est pourquoi il nous apparaît évident que l’Europe politique doit se limiter à 5 ou 6 pays et respecter scrupuleusement le principe de subsidiarité. La poursuite de la construction européenne doit s’inspirer de la méthode de la Confédération helvétique, faite de respect de l’enracinement et de l’adhésion des citoyens.

Quant à l’Europe économique, elle devrait se composer de pays ayant un niveau de développement similaire, ce afin d’éviter les tensions internes, le dumping social et fiscal et la concurrence déloyale. Enfin doit s’affirmer l’Europe culturelle qui « de l’Atlantique à l’Oural » veille au respect des fondements de la civilisation européenne et à son rayonnement. Car nous ne voulons pas que l’Europe se réduise à une Europe de la consommation, de la technique, à cette Europe des robots dont parlait Bernanos. Pour nous la civilisation européenne est ce qui nous rassemble, elle est ce creuset où se sont forgées deux valeurs fondamentales : la dignité de la personne et la liberté politique. Ces valeurs inventées par les Anciens et le christianisme, nous avons le devoir de les affirmer contre la folie du monde. Nous sommes inspirés par l’anthropologie chrétienne, certainement. Nous croyons, mais c’est surtout l’histoire qui le croit à travers nous, que la destinée de la France s’est construite dans sa foi et sa religion, qu’il ne peut en être autrement.

L’oublier ? Alors, la France n’est plus la France. Parce que c’est cette culture-ci, cette communauté-là qui ont fait ce pays, elles qui lui ont infusé ses vertus, quand bien même on a cherché à les retourner contre elles. C’est là le ferment de la liberté. Heureux comme Dieu en France, toutes les nations persécutées du monde le savent, sauf les Français. En quoi nous nous élevons contre la fausse laïcité, celle qui a cours depuis 1905, non pour conjoindre les pouvoirs, mais au contraire pour les laisser respirer paisiblement chacun de son côté. La respiration du monde tient à l’harmonie de ces deux mouvements, celui du temporel et celui du spirituel. En casser un, c’est provoquer l’asphyxie. Il y a une lutte perpétuelle entre ces deux autorités nécessaires, mais de leur lutte même vit la société. Aujourd’hui, l’on se croit apaisé simplement parce que l’on a sombré dans le coma profond. Le combat a cessé seulement faute de combattants : les instituteurs et les curés ont disparu ensemble, comme des lames rouillées par le temps et que l’inutilité de leur combat ont dissoutes. Et l’islam ne tarde pas à nous reposer la question de notre âme. Une chose est certaine : la charia ne sera jamais notre constitution. Le salut ne viendra pas de l’usage des moyens de ce monde, mais plutôt de la trouée que nous pourrons y faire, vers les buts supérieurs de la personne humaine. Nous proposons de cesser de nous considérer comme ces animaux que l’on appelle consommateurs.

Dans cette famille des familles qu’est une patrie, il faut du temps et le lent passage des siècles pour harmoniser les modes de vie. On peut certainement recourir à l’État, puissante machine dominatrice, pour organiser tout cela, et c’est ce que croyaient les partisans apeurés du Léviathan il y a quatre siècles. Nous savons, hélas, nous voyons, combien ce subterfuge est, plus qu’un remède, un poison. La liberté se prend, et elle se prend lorsque l’on sait qu’en faire. Nous croyons fermement qu’à une culture de vie aujourd’hui s’oppose une culture de mort. C’est celle qui nous fait croire les maîtres absolus de nos existences, et même de celle des autres, depuis ces embryons dont on se débarrasse en masse jusqu’à ces vieux et ces infirmes dont on éteint la lumière quand on a jugé leur dignité perdue. L’ordre naturel a été complètement bouleversé par le prométhéisme que notre science et notre technique ont édifié. À croire que tout nous est possible, une seule chose est maintenant devenue impossible, contester le sens de cette histoire de l’outrepassement des limites. « L’humanisme qui a entièrement perdu son héritage chrétien, est incapable de tenir bon dans cette compétition », écrivait Soljenitsyne dans Le Déclin du courage. Cette compétition pour garder sa liberté et son identité, autrefois, des hommes libres étaient prêts à mourir par millions pour elle ; aujourd’hui le déclin du courage et de la volonté est tel que l’on n’accepterait de perdre sa vie pour aucune cause qui nous dépasse.

Le matérialisme gave les corps et endort les âmes. Or Renan le savait, les victoires comme les défaites sont avant tout spirituelles. Et pourtant, il nous est possible, à nous, citoyens libres, et parce que justement nous voulons être ces hommes-là, de restaurer collectivement le respect, l’autorité, la décence. Notre pays a déjà échappé à deux totalitarismes. Aujourd’hui, face à ceux qui viennent, nous voulons être la relève. Nous ne sommes pas encore mûrs pour l’esclavage : ce que pensait Leclerc en 1942, au plus profond de la défaite, nous le pensons aussi aujourd’hui. Le temps qui vient ne sera pas celui du salafisme et du djihadisme mondialisé. Nous ne sommes pas le peuple qui voile ses femmes et asservit les consciences. Nous venons d’une autre civilisation, celle des hommes libres. La France possède des puissantes forces spirituelles intérieures, elle l’a montré au cours des siècles. Son histoire est faite de rebonds, de redressements, de refondations, inattendus, impossibles, impétueux. Nous sommes les héritiers de cette grande histoire. Nous sommes l’avant-garde de la nouvelle France.

Nous avons surmonté le désespoir. Mieux : nous portons l’espérance. Celle que la France rentre à nouveau dans l’Histoire, qu’elle redevienne une nation ayant quelque chose de singulier à dire et à proposer au monde. Le printemps des consciences commence.

Auteur: idlibertes Profession de foi de IdL: *Je suis libéral, c'est à dire partisan de la liberté individuelle comme valeur fondamentale. *Je ne crois pas que libéralisme soit une une théorie économique mais plutôt une théorie de comment appliquer le Droit au capitalisme pour que ce dernier fonctionne à la satisfaction générale. *Le libéralisme est une théorie philosophique appliquée au Droit, et pas à l'Economie qui vient très loin derrière dans les préoccupations de Constant, Tocqueville , Bastiat, Raymond Aron, Jean-François Revel et bien d'autres; *Le but suprême pour les libéraux que nous incarnons étant que le Droit empêche les gros de faire du mal aux petits,les petits de massacrer les gros mais surtout, l'Etat d'enquiquiner tout le monde.

Antonio Gramsci

Né le 22 janvier 1891 à Ales (Sardaigne) et mort le 27 avril 1937 à Rome, est un philosophe, écrivain et théoricien politique italien.

Membre fondateur du Parti communiste italien, dont il est un temps à la tête, il est emprisonné par le régime mussolinien de 1926 à sa mort. En tant qu'intellectuel marxiste, il a notamment développé une théorie de l'hégémonie culturelle. Ses travaux, menés principalement pendant ses onze années d'emprisonnement, portent aussi sur l'histoire de l'Italie, le nationalisme, les partis politiques, la littérature (notamment l'œuvre de Machiavel), l'époque de la Renaissance et de la Réforme, ou encore le matérialisme historique.

Iraultza 30 juillet 2014 Pourquoi je hais l'indifférence de Antonio Gramsci Ils [les hommes politiques italiens] n'ont pas senti la souffrance : ils ont créé le chaos, ils ont laissé tout rafler à ceux qui étaient les plus forts économiquement [...]

Antonio Gramsci pvd 14 mars 2015 Antonio Gramsci Il y a crise quand l’ancien monde ne veut pas mourir et que le nouveau monde ne veut pas naître.

DLN 24 février 2015 Lettres de prison de Antonio Gramsci Je suis pessimiste par l'intelligence mais optimiste par la volonté.

Antonio Gramsci de 27 février 2014 Antonio Gramsci Que peut opposer une classe innovatrice au formidable ensemble de tranchées et de fortifications de la classe dominante ? L’esprit de scission, c’est-à-dire l’acquisition progressive de la conscience de sa propre personnalité historique.

DLN 04 janvier 2020 Pourquoi je hais l'indifférence de Antonio Gramsci Quand on est convaincu que quelqu'un se trompe, que cette personne refuse de discuter, d'apporter des preuves en alléguant que tout à chacun à le droit de penser comme il veut - on ne peut pas être tolérant. Liberté de pensée ne signifie pas liberté d'errer et de divaguer.

 

Nouvelle chaine : le souverainiste avec l'economiste Philippe Murer, ancien du RN.

Gilbert Collard @GilbertCollard Regardez : « Vous ne pouvez pas sortir sans manquer de vous faire agresser, de voir des scènes d’exhibition, des personnes qui défèquent devant vous, de la masturbation à ciel ouvert, des personnes qui se piquent » : la France de Macron est un asile de fous !

franceinfo sur Twitter - -Législatives 2022 - -Aucune voix ne doit aller aux anti-républicains-, défend Rachida Dati, qui assure qu'il -n'y a pas une seule famille politique concernée-. -Les électeurs choisiront l

Richard Audinghem 🇫🇷 🇵🇱 @audinghem · 6 min Ta république, Rachida, est rapée, on en a soupé ! Elle te nourrit bien, mais à nous, ça ne coûte la peau du cul ! Elle est grasse avec les oiseux et gueuse avec nous ! le mieux c'est que tous les politiques qui ont mis en place ce système inique dégagent .

La commission européenne accélère le passe sanitaire pour le 1er juillet sauf que les 705 députés doivent voter sans débat .

Marchand de bambou ? Asie .

Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle mais des êtres spirituels vivant une expérience humaine.

Pierre Teilhard de Chardin

ça veut dire  que notre base de vie , ou nous retournons à  chaque  fin de mission sur une autre planête , c'est  notre  base originelle, ou nous avons  plaisir à retrouver, nos âmes soeurs, nos guides spirituels, nos instructeurs , notre école des âmes, chaque nouvelle expérience humaine, d'incarnation,  part de notre maison toujours du même endroit , celle de notre âme . ...

lejamaiscontent.com

 

voir texte plus bas sur la composition possible de l'assemblée nationale .

c' est alambiqué mais le résultat est là !

Merci d'avoir voté , on va voir leurs tronches tous les jours !

Placement des enfants abusifs et pédophilie non dénoncée par les juges, on laisse faire

Liber🇨🇵🍿🙏 sur Twitter - -TEMOIGNAGE CHOC 🔥 Un avocat à Marseille dénonce la #pédocriminalité avec la justice COMPLICE ! Écoutez et RT ! ON NE PEUT PLUS TOLERER CETTE OMERTA DE PÉDOPHILES ! #Marseille #pédophi

Jésus Christ résume la trahison de l'église d'aujourd'hui à sa parole , plus que jamais il a besoin de nous !

en 2020, seulement 2 % des hospitalisatons étaient liées au Covid.

lui aussi il aime ça !

NDA en tête dans sa circoscription de l' Essonne .

Qui ose affronter la mort comme cet homme ?

Une assemblée qui ne représente plus les français .

Le RN  a fait près de 20 % des voix au 1er tour des législatives , il devrait avoir 115  sièges au moins si on respecte la logique des chiffres , il n'en auront que 15 à 35   à l'assemblée nationale, "ils ne sont pas républicains"  disait-on à l'époque, a vrai dire ils génaient le jeu de dupes gauche-fausse droite qui parodiait une opposition .

La droite a largement gagné ces elections, mais comme nous n'avons de la démocratie que la façade, la gauche  revancharde parade le torse haut , la fausse droite (LR) compte et recompte les sièges perdus et la droite identitiaire   ronge son frein, faute d'union et de représentativité ligitime dans l'hémicycle .

Quand aux macroniens ( Renaissance) les députés n’obéissent qu'à leur maître, ils ne sont pas là pour penser et tous ne savent pas que Macron est là pour finir de détruire la France et de l'intégrer dans l' U.E. Le pantin  espère bien qu'il verra bientôt  le gouvernement mondial .

Le plus gros du travail est déjà accompli. Si il lui manquera une majorité, ce sera la tête LR qui l'y aidera . Ceux qui ont voté pour Macron sont encore naïfs et ne se sont pas encore aperçus que c'est le 1er président de la 5e république qui travaille contre la volonté de son peuple. Mais les commissaires de l' U.E. n'ont plus les pieds sur terre depuis longtemps et ils finiront par disparaître très bientôt, les peuples européens n'en peuvent plus de leurs décisions suicidaires et arbitraires. Même les patrons européens surtout allemands ne supportent pas de ne respecter leurs demandes sur la priorité de l'énergie russe, la ruine guette nombre d'entreprises . ​--.


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Les élections législatives de ce dimanche 10 juin débouchent sur un paysage parlementaire inacceptable pour l’ensemble des électeurs de droite de ce pays et lourd de menaces pour la suite. Inacceptable car le RN, en dépit des meetings monstres d’Eric Zemmour, de son talent oratoire et de l’immense espoir qu’il a suscité, notamment chez les jeunes, reste le premier parti de droite en France. Il l’est même plus que jamais. Certes, son score national (18,7 %) s’est tassé par rapport au premier tour de la présidentielle. Certes, on ne prête à ce jour au RN que 15 à 35 députés (Opinion Way) dimanche prochain, à l’issue du second tour. Et c’est bien peu pour relever la France détruite par ceux qui se sont succédés au pouvoir depuis des décennies. Le Rassemblement national participera à 208 duels de deuxième tour, dont 106 face au parti présidentiel et 60, très intéressants, face à la Nupes.

Il aura manqué à Marine Le Pen cette alliance avant le premier tour avec Reconquête qui n’obtient pas d’élus mais a fédéré 4 % des voix au national : un électorat qui eut été très précieux pour aider le parti à la flamme à passer le cap du deuxième tour dans de nombreuses circonscriptions. Car le résultat des législatives pose une fois de plus la question de la représentativité du camp patriote. Comment accepter que les 4,2 millions d’électeurs d’un parti qui a obtenu plus de 40 % des suffrages au second tour de l’élection présidentielle ne soit représenté que par 15 à 35 députés sur 577, soit 6 % au mieux de la représentation nationale ? Marine Le Pen peut stigmatiser « un système électoral sclérosé et à bout de souffle » : le problème de représentativité est patent.

Ce système inacceptable par les Français est aussi lourd de menaces envers une société fragile. Car les effets se vérifieront très vite. Cette élection « volée » accroîtra encore le désespoir de ceux que le pouvoir depuis trente ans a privé de tout, à commencer par la moindre influence sur le destin de leur patrie ? Ils ont le sentiment que le match se joue ailleurs, sans eux et ils n’ont pas tort. Ils ont la conviction d’une injustice, comme ceux que la France a abandonné. Ils ont acquis la conviction de l’inutilité de leur vote puisque l’Europe, l’immigration, le délitement de la France sont inéluctables, leur dit-on. Et que, quels que soient les résultats des scrutins qui se succèdent, leur voix ne pèse pas : pas ou peu d’élus, toute alliance interdite. Une forme de confinement électoral. Comment ne seraient-ils pas tentés par l’abstention ? Parmi eux, de nombreux jeunes qui auraient pu voter pour la première fois aux législatives se sont occupés d’autre chose.

Car si le vote n’a plus d’influence sur le destin de la patrie, il faut trouver d’autres moyens, diront nos abstentionnistes. Ces moyens risquent à tout moment de devenir radicaux et violents, lorsque des citoyens acculés sont prêts à tout. Encore une fois, le pouvoir pleurnichera, déploiera tout le mépris dont il est capable, les traitera de tous les noms. Jusqu’à quand ? Jusqu’où ?

Il s’agit d’une tromperie. Les Français n’ont pas basculé à gauche, loin s’en faut. Avec 26 % des voix, la gauche unie enregistre même un score très bas dans l’histoire de la Vème République. Le président en place, réélu avec 58 % des suffrages, a été désavoué par un recul historique des voix en sa faveur, à tel point que la majorité absolue ne lui est plus acquise. Le leader de la Nupes a vendu aux électeurs un premier ministre et le rêve d’une majorité à l’Assemblée. Fausse promesse : ils le savent, désormais, ni l’un ni l’autre n’arriveront, mais le but est atteint. LFI seul va passer de 17 élus à un bataillon d’une centaine de députés. Le groupe encaissera les revenus qui vont avec, soit un peu plus de 37.000 euros par député et par an. LFI va faire fortune.

Et pourtant, c’est la droite toute tendance confondue qui sort vainqueur de ce scrutin. En cumulant leurs résultats, le RN (18 %), LR (13 %) et Reconquête (4 %) obtiennent 35 % des voix, près de dix points devant le parti macroniste et Mélenchon. LR restera-t-il fidèle à sa réputation de droite la plus bête du monde ? Si le parti joue les supplétifs du macronisme à l’assemblée après que Valérie Pécresse a appelé à voter pour lui à la présidentielle, il ne s’en relèvera pas. Mélenchon emporte un franc succès par la seule tactique. Ses idées n’ont pas gagné. La droite doit rompre avec les oukases stériles lancés par ses ennemis politiques et s’en inspirer pour, enfin, installer une représentation réaliste des forces en présence, par la proportionnelle. Cette fois, Macron y aurait intérêt, ce serait une manière de briser la mâchoire de la Nupes. Il est grand temps.

Marc Baudriller / Bd Voltaire

La valeur n'attend pas le nombre des années ...

Si tu savais ma grande ce qu'elle boit pour rester jeune, tu ne pourras jamais l'imaginer .

un des meilleurs débats des dernières années, a voir et revoir ! *****

Martine Wonner éliminée avec 5 % de voix, en 2017 elue avec 55 % comme députée LREM mais parfaitement inconnue.

Exact et ts les anti-pass éliminés au 1er tout. Philippot, Lalanne, Juving Brunet ... y a un truc qui m'échappe .